Nous reprenons notre minibus en direction de la côte sud : site Vinapu ( E 3 ), en prolongement de la piste de l’aéroport.
Nous sommes encore dans les hauteurs du volcan Rano kau, nous empruntons une petite piste. Une pose « arrêt-photo » est nécessaire, la vue sur une bonne partie de l’île de Pâques !!
Photo de Thierry ⇑
De tous les ahu de Rapa Nui, le site du Vinapu est le plus énigmatique et suscite le plus de théories sur les origines du peuplement de l’île. Le Vinapu est composé de deux ahu (côte à côte) tournant le dos à une falaise, sur la pente sud-est du Rano Kau et des restes d’un troisième. Parmi les trois ahu, l’un est fait d’un assemblage de pierres comparable à un mur incaïque. Les pierres y sont parfaitement bien ajustées.
Une tête de moai très rustique, qui aurait pu être taillée sur place tardivement.
Le Vinapu est antérieur à l’âge d’or des Incas (les ahu sont datés de 1200). Le Vinapu n’a probablement rien de sud-américain.
Les Pascuans venaient-ils de l’est ou bien de l’ouest ? D’Amérique du Sud ou de Polynésie ?
La côte sud du site Vinapu
L’ahu Vinapu 2 sur la prochaine page
Bonsoir Marie-France.
De superbes paysages , pas beaucoup d’arbres , le sol volcanique ne doit pas être compatible ou le vent marin est-il trop fort ?
Qu’elle patience pour ajuster ces énormes blocs et les tailler avec des outils rudimentaires , (ils n’avaient pas de pétrole mais des idées).
Il y a des petits malins qui profitent de la mer tout en étant à l’abri des collines.
Bonne fin de semaine.
Au plaisir.
Jean Jacques.
bonjour
j’aime beaucoup vos photos et en particulier celle du mur de l’ahu vinapu avec la tête de moai
j’aimerais pouvoir l’utliser dans mon livre destination terre
serait ce possible , en vous citant bien entendu comme l’auteur de la photo
merci d’avance
fréderic vidal
Merci de l’intérêt que vous portez aux photos sur mon site de Rapa Nui. Vous pouvez bien entendu utiliser les photos du moment que la licence CC soit respectée.
Je suis allée rendre visite sur « destination terre », intéressant et instructif, j’y reviendrai …
Marie-France